La Cour d’Alger a décidé, dimanche, le report au 20 septembre en cours, du procès en appel de l’homme d’affaires Ali Haddad, condamné en première instance, à une peine de 18 ans de prison ferme assortie d’une amende de 8 millions DA dans des affaires liées à la corruption et ce, à la demande du collectif de défense et en raison de l’absence de certains accusés.
Ali Haddad est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation liés à la corruption dont l’obtention de privilèges et d’avantages en violation de la législation, dilapidation de deniers publics, abus de fonction, conflit d’intérêts et corruption dans la conclusion de marchés publics.
Poursuivis, dans la même affaire, pour octroi d’indus avantages à l’ancien chef du FCE (Ali Haddad) et conclusion de marchés en violation de la législation, les deux anciens Premiers ministres, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia ont été condamnés à 12 ans de prison ferme assortis d’une amende d’un (01) million DA.