
L’enseignant en sciences politiques et relations internationales, Idriss Attia, a affirmé que le 31e sommet arabe, tenu les 1er et 2 novembre à Alger, censé être un rendez-vous régional, est désormais mondial, au vu de la forte présence des dirigeants arabes et des représentants d’organisations internationales et régionales, en sus de l’écho favorable reçu dans les différentes contrées du monde.
Dans une déclaration à la presse, le spécialiste en affaires africaines et études stratégiques et sécuritaires a précisé que le sommet arabe « traduisait directement les neuf clauses liées à la Déclaration d’Alger, signée le 13 octobre dernier entre les factions palestiniennes, en ce sens que les dirigeants arabes ont souligné leur attachement envers la cause palestinienne et sa redynamisation sur les plans arabe et mondial ».
Il a également tenu à rappeler que le discours du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, évoqué dans la Déclaration d’Alger sanctionnant les travaux du sommet, se voulait un soutien à la candidature de la Palestine pour devenir un membre à part entière aux Nations Unies.